I’m DDK; artist, performer, and the soul behind a sound that blends Haitian pride with international rhythm.
Born in Gonaïves, Haiti, on April 11, 2002, I grew up witnessing pain, strength, survival — moments that shaped my voice and vision. From childhood memories of chaos and courage to the resilience of my people, Haiti is not just where I’m from — it’s who I am.
At age 6, my family moved to Florida, but Haiti stayed in my blood. That’s why I chose to create music rooted in kompa, Afro, gouyad, and culture — the kind of music that moves your body and speaks to your soul. My father, my hero, made this life possible. Working three jobs, supporting family back home, showing up to church every weekend in a suit, even if it meant biking 6 miles to get there. His work ethic runs in my veins.
As a kid in the U.S., I quickly realized I was built different — solving problems others couldn’t, leading my classes, dreaming bigger than most. That same drive led me into bands, then into studios, and finally into my own lane.
After working with talented artists like WID, TONYMIX, and KING LELU, I knew I had to create something that was truly mine. That’s when DDK the movement began — a vision born from sacrifice, skill, and independence.
What started as a band called Pwoblem became something more powerful: a solo journey toward authenticity. A brand. A lifestyle. A sound.
Today, DDK isn’t just music. It’s an experience. It’s for the people in Paris, the dance floors in Miami, the fans who feel every beat in their chest both in the U.S and international.
My merch isn’t just clothing — it’s a symbol of survival, confidence, and culture. When you wear it, you wear a piece of my story. And if you’re rocking with me, you’re already part of the legacy.
Haïti dans mon cœur. Le monde dans mon son.
Je suis DDK — artiste, performeur, et l’âme derrière un son qui mélange la fierté haïtienne aux rythmes internationaux.
Né à Gonaïves, Haïti, le 11 avril 2002, j’ai grandi en étant témoin de la douleur, la force, la survie — des moments qui ont forgé ma voix et ma vision. Des souvenirs d’enfance remplis de chaos et de courage jusqu’à la résilience de mon peuple, Haïti n’est pas juste l’endroit d’où je viens — c’est ce que je suis.
À l’âge de 6 ans, ma famille a déménagé en Floride, mais Haïti est restée dans mon sang. C’est pourquoi j’ai choisi de faire une musique enracinée dans le kompa, l’afro, le gouyad, et la culture — une musique qui fait bouger ton corps et qui parle à ton âme.
Mon père, mon héros, a rendu cette vie possible. Travaillant trois boulots, soutenant la famille restée au pays, présent à l’église chaque week-end en costume — même s’il devait faire 10 km à vélo pour y aller. Sa détermination coule dans mes veines.
Enfant aux États-Unis, j’ai vite compris que j’étais fait différemment — je résolvais des problèmes que d’autres ne pouvaient pas, je dirigeais mes classes, je rêvais plus grand que la plupart. Cette même énergie m’a emmené dans des groupes, ensuite en studio, puis finalement dans ma propre direction.
Après avoir collaboré avec des artistes talentueux comme WID, TONYMIX et KING LELU, j’ai su qu’il fallait que je crée quelque chose qui m’appartient vraiment. C’est là que le mouvement DDK est né — une vision construite sur le sacrifice, le talent et l’indépendance.
Ce qui avait commencé comme un groupe appelé Pwoblem est devenu quelque chose de plus fort : un voyage solo vers l’authenticité. Une marque. Un style de vie. Un son.
Aujourd’hui, DDK ce n’est pas juste de la musique. C’est une expérience. C’est pour le peuple à Paris, les pistes de danse à Miami, les fans aux États-Unis comme à l’international qui ressentent chaque beat dans leur poitrine.
Ma merch, ce n’est pas juste des vêtements — c’est un symbole de survie, de confiance et de culture. Quand tu la portes, tu portes un morceau de mon histoire. Et si tu vibres avec moi, tu fais déjà partie de l’héritage.
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